Actualités

L'actualité du Régulateur

Coopération sud-sud : l’ARPCE Congo et l’ARTP du Sénégal échangent sur les meilleures pratiques en matière de régulation


Du 29 au 30 novembre, une équipe de l’Autorité de Régulation des Télécommunications et des Postes du Sénégal effectue une mission de benchmark au siège de l’Agence de Régulation des Postes et des Communications Electroniques du Congo.

C'est dans ce cadre que les délégués des deux institutions ont tenu ce 29 novembre 2022, dans la salle de conférence de l’ARPCE, une première réunion technique, sous le patronage du Directeur Général par intérim (DG p.i), monsieur Victor Mabiala.

Dans son propos liminaire, le DG p.i a salué l’excellence des relations au niveau étatique entre le Congo et le Sénégal et souligné la franche collaboration entre l’ARPCE et l’ARPT, à travers l’accord de partenariat et de collaboration signé par les deux institutions en 2015.

« Je tiens ici, au nom du Directeur Général de l’ARPCE, à féliciter le dynamisme de notre partenariat et de notre cadre de collaboration sud-sud », a indiqué le DG p.i avant d’ajouter : « En effet, sur le continent, nous avons le potentiel SM2010m
pour y arriver. Nous pensons souvent à tort que l’excellence est ailleurs, à l’extérieur du continent, alors que nous l’avons à quelques kilomètres seulement de nous ».

Pour le Directeur des Affaires Juridiques et Internationales de l'ARPCE, Jean Célestin ENDOKE, les accords de partenariat que signent l’ARPCE visent à sublimer les compétences locales, régionales et continentales car les réalités de régulation en Afrique ne sont pas les mêmes sur les autres régions du monde.

« Nous sommes très honorés de vous recevoir. Vous êtes ici chez vous », a-t-il affirmé tout en soulignant, une fois de plus, « la nécessité de la coopération au regard de nos défis communs liés à la perpétuelle mutation des secteurs régulés.

Pour le Chef de la délégation sénégalaise, Serigne Abdou Khadre MBACKE, Conseiller technique du Directeur Général de l’ARTP, l’ARPCE Congo se positionne comme une référence en matière de régulation, notamment en ce qui concerne le contrôle et la supervision des trafics ainsi que le suivi de la FinTech. « Notre visite s’inscrit dans le cadre d’un échange d’expérience et de connaissance par rapport à nos métiers communs », a-t-il conclu.

Partagez cet article :